La souffrance, preuve de résistance ?

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Allez, allez.. dernier coup de collier… dernier module… 🙂

« Les pratiques narratives appliquées »

Isabelle LAPLANTE et Nicolas DE BEER

IFOD – 12-14 décembre 2016 (module 3)

Programme module 3 : pouvoirs normatifs – socio-culturels – abus de pouvoirs intérieurs

 

Programme

Lundi : les discours et leurs promesses

Mardi : le sentiment d’échec personnel

Mercredi : les groupes

 

Préambule

Avant, les modèles étaient fournis par la religion (morale)

Puis vinrent les lieux d’enfermement (cf. travail de Foucault), les hommes apprennent comment vivre… Peu à peu les normes s’intériorisent pour soi et pour les autres.

La norme est présentée comme une vérité.

Le discours ambiant érige des vérités.

Même le bonheur a ses clefs (selon un hors-série de Psychologies Magazine).

 

Nous vivons dans des contingences… (le contexte)…

Même la naissance est une contingence (cf. livre Nancy Huston – Espèce fabulatrice)

Besoin d’explorer les discours dans lesquels les gens sont empêtrés.

Il peut y avoir dilemme entre l’injonction normative et les aspirations personnelles.

 

Carte « déconstruire une promesse »

1) Objet à décrire

2) Les discours et les contradictions

3) Et si vous faites tout cela (énumération), quelle récompense ?

4) Les valeurs, les exceptions… (aller vers l’action)

5) ouverture vers le champs des possibles…

 

Méthodo

1) Le client expose et décrit son problème/dilemme

2) Situer le problème dans un contexte précis

3) Et si vous faites tout cela (énumération), quelle récompense ?

4) Élargir dans un contexte plus large (entreprise, culturel)

5) Mettre à jour le discours à l’œuvre et le faire nommer

6) Relire tout (énumération)… Quelle est la promesse ?

PS : le praticien demande au client si les promesses sont toujours tenues ; avez-vous toujours eu la récompense de vos efforts ?

Chercher les valeurs fortes (ce qui est précieux pour la personne)… Qu’est-ce que je pourrais te voir faire… ?

 

Faire une poésie 

Principe de la re-narration

 

Lire avec les lunettes de M Foucault 

3 formes de pratiques de contrôle social

– Pratiques de division

– Objectivation des corps (classification des désordres)

– Jugement normatif (comparaison à une norme)

 

2 ème jour – 13/12/16

Thème du jour : le sentiment d’échec personnel : « Nul, pas à la hauteur, je n’y arriverai pas… »

« Quand on pose une question, soyez prêt à entendre tout type de réponse »

 

Préambule

On échappe à l’échec en cessant de viser un résultat

La sagesse serait la seule vie réussit… On peut l’atteindre à condition de cesser de la poursuivre…

La personne n’est pas véritablement ce qu’elle montre (savoir secret sur sa vie)

Avant la coercition était souvent clairement identifiée comme extérieure.

Aujourd’hui, les formes de pouvoir sont invisibles et insidieuses.

 

L’individu véhicule le pouvoir… Chacun est investit dans le contrôle (de soi, des autres)… L’enfermement n’aurait peut-être plus besoin de lieux.

La police (et le contrôle social) est devenue intérieure.

Avant, les gens travaillant dans la relation d’aide étaient des agents du pouvoir… Ils peuvent devenir aujourd’hui des agents de l’émancipation.

 

Exercices

– Lire le sentiment d’échec personnel comme un refus du pouvoir moderne

– La souffrance est la preuve d’une résistance (si je souffre, je maintiens une valeur)…

 

Suggestion : recueillir de l’info pour savoir comment les personnes en échec sont en train de défier la norme.

 

Notion d’idem et d’Ipse (Ricoeur)

 

Les prescriptions varient selon les époques

Pour les grecs : le plaisir (et sa modération)

Pour les chrétiens le désir et sa limitation

Pour les modernes : connaissance/découverte/vérité sur soi et les autres

 

Carte 

1) Échec à quoi ?

2) Réactions à l’échec (qu’as-tu fait pour essayer de t’adapter à ce qui était demandé ?)

3) Recherche d’exceptions (évènements uniques)… comment fais-tu pour souffler un peu, trouver du répit, du réconfort ?

4) Trouver les fondements de l’action (comment rester en contact avec l’exception)

5) Trouver les valeurs (le socle – la substance éthique) – ce qui guide

6) Renforcer l’initiative personnelle (ouverture vers un plan d’action)

 

Débrief exemple d’une conversation de M White

– Rendre explicite ce qui était implicite et qui rentrait en conflit avec la valeur bafouée.

MW : Qu’est-ce que cela nous dit de ce qui est important pour toi dans la vie ?

 

Débrief Exercice 

Le client doit d’abord se situer sur sa plateforme (son socle) pour regarder l’avenir.

 

Suggestions 

– Être attentif au point de bascule entre l’histoire dominante et l’histoire préférée.

– Bien reconnaître l’acte de résistance.

 

3 ème jour – 14/12/16

Thème du jour : le collectif

Comment mettre en œuvre les pratiques collectives dans un collectif ?

 

Cadre ouvert

– Ne pas utiliser le mot outil (trop mécaniste)

– La lettre s’écrit avec la deuxième personne du pluriel : vous…

– Le poème (remis en main propre) s’écrit avec la première personne du singulier : je…

 

Débrief exercice (groupes de 4).

Suggestions

– Poser le cadre en préalable (pour ne pas risquer de se faire inclure dans le groupe)

– Donner du temps de parole à chacun des membres constitutifs du groupe (garder le même niveau d’attention pour chacun)

– Si possible pas plus de deux niveaux hiérarchiques dans un groupe (règle de coaching).

 

Exercice (groupe de 6 puis ensuite un élément va être animateur d’autres groupes) – Travail sur bilboard avec inscription des contributions de chacun.

1) Mettre à jour les intentions

2) Lister les obstacles

2 bis) déconstruction des slogans

3) Lister les connaissances et compétences (qui permettent de résister)

4) Plan d’action

 

 

 

 

 

Différance (merci Derrida !) – Désincarcération mentale (Comme s’il y avait une méthode)

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Allez, allez… On continue… Ci-dessous les notes prises lors du deuxième module de formation… Courage !

« Les pratiques narratives appliquées »

Isabelle LAPLANTE et Nicolas DE BEER

IFOD – 12-14 décembre 2016 (module 2)

Programme module 2 : pouvoirs coercitifs

Programme module 3 : pouvoirs normatifs – socio-culturels – abus de pouvoirs intérieurs

 

« Si tu ne cherches pas l’inespéré, tu ne le trouveras pas »

(Héraclite)

Programme du module :

Premier jour du module 2 : Matin : Meta-carte pour jongler dans les conversations narratives – Après-midi : ateliers

Deuxième jour : Abus de pouvoir – double écoute

Troisième jour : Détresse émotionnelle – Résistance

La méta-carte

Les êtres humains sont des relieurs de temps dotés d’un langage symbolique. Ils dessinent des cartes (représentation de la réalité) et ont des compétences d’abstraction.

Quelques exemples de définitions :

Méta-carte : la carte des cartes

Carte : représentation conventionnelle d’un territoire

Carte conceptuelle : représentation graphique d’un champs de connaissance.

Modèle : description schématique d’un système, d’un thème ou d’un phénomène.

Concept : relier entre eux, ils forment une pensée.

 

Les histoires sont des cartes.

Le but du praticien est d’ancrer des cartes (histoires) préférées à partir de leur histoire (dominante).

En changeant la carte, peut-on changer le réel ?

Les cartes appartiennent aux clients. Les boussoles aux praticiens.

 

Les penseurs de référence.

Alfred Korzybski (1879-1950)

Connu pour son aphorisme : « La carte n’est pas le territoire »

La carte est auto-réflexive : elle parle de celui qui la dessine.

Robert Dils

Créateur d’un modèle sur les niveaux logiques de la pensée. Modélisation des niveaux d’excellence de la pensée.

 

Conseils de praticiens

La description (du problème) permet de rendre compte de l’expérience… Plus elle sera enrichie, plus elle donnera d’éléments pour « travailler »

L’abstraction : capacité de fabriquer de la théorie à partir de l’expérience

 

Concept d’échafaudage

– Niveau de la caractérisation (aussi proche que possible de l’expérience)

– l’insérer dans une chaîne d’association (effets du problème)

– réflexion/évaluation : les valeurs

– Plan d’action : qu’est-ce que je pourrai te voir faire demain ? (Retour de la pensée vers le terrain du réel). Ouverture des possibilités d’agir.

 

Comment nous développons nous ?

L’apprentissage résulte d’une collaboration et permet le développement.

La pensée est rhizomique.

 

Le déroulé

Carte 1 : modèle général de développement

Le devoir de guider le client vers de nouvelles cartes (cf. p 4)

Carte 2 : Objet – partie reconnaissable de l’expérience/évènement

Carte 3 : Faire faire des connexions au client. Donner une direction à la pensée : amont, aval, croisement, association (cf. conversation pour redevenir auteur).

Carte 4 : choix du champs de réflexion

Inférences (tirer des conclusions), résonnances (exemples des témoins extérieurs), réciprocité, persévérance (continuer à essayer de réussir).

Carte 5 :

– Conceptualisation, recherche de concepts. Justifications (pourquoi ?), initiative (reprise de pouvoir, se rendre compte qu’on a de l’influence sur qqun)

– Le titre de l’histoire à trouver

– Telos : le but du but du but… le grand principe

Carte 6 : méta-carte

A valider sur le territoire de la pratique

Pause déjeuner/reprise

Vidéo/dessin animé (processus de la fabrication d’histoires)

Exercice de réflexion

Entrainement à l’externalisation

 

Débrief

L’externalisation est avant tout une attitude.

Chercher l’exception après avoir décrit le problème.

Pour le client, le fait d’être là manifeste un acte de rébellion… (mais comment faites-vous pour si bien vous protéger, d’où vous vient votre capacité de résistance ?)

Conseils et techniques de questionnement

Plutôt ci, plutôt ça ?

Qu’est-ce que ce n’est pas

Et ce je ne sais pas… c’est ?

Débrief exercice – Exceptions

On cherche à interroger les effets et les tactiques du problème…

Pause

Débrief – Mettre à jour les intentions

Conseil : reprendre dans la prise de notes les mots soutenants pour écrire une lettre

Lecture d’une lettre de M White – c’est une (re)narration de ce qui est précieux… Elle souligne les valeurs fortes de la personne.

Résumé de l’entretien précédent…

« Vous avez franchi des étapes, vous avez découvert… vous avez attiré mon attention sur… Vous êtes capable de… une percée importante… je suis impatient de connaître la suite »

 

Deuxième jour 30/11/16

Réflexions pour une désincarcération mentale

« Laissons les étiquettes à ceux qui ne veulent pas penser »

(Michel Serres)

– Freiner le « terrorismes intellectuel », la « tyrannie parlière » (Voltaire)

– Attention aux similitudes, aux pensées paresseuses, éviter les conclusions hâtives, tenter de suspendre les jugements.

– Préférez « l’entre deux » (entre chien et loup), là où il se passe quelque chose

– Débrouillez-vous pour multiplier les choix

– Questionner les évidences

– S’arracher aux conventions

– Se dégager des généralités

– Ne pas devenir complice des abus de pouvoirs.

Il est toujours intéressant de questionner le client sur le sens des mots qu’il emploie.

 

Les abus de pouvoirs/la violence

Refus d’externalisation pour un abuseur : le problème est la personne

L’abuseur doit reconnaître sa responsabilité, reconnaître sa dette/honte/désir de réparation

C’est la personne abusée qui choisit la réparation

 

Double écoute

Carte du trauma

Exercice de double écoute

 

Troisième jour 01/12/16

Thème journée : absent mais implicite (Ce qui est caché)

Jacques Derrida/déconstruction

La douleur/détresse est un signe de résistance

« On mesure l’intelligence d’un individu à la quantité d’incertitude qu’il est capable de supporter »

(Emmanuel Kant)

L’ennui construit l’intériorité…

« La province commence là où la pluie devient une distraction »

(Gustave Flaubert)

 

Débrief exercice : deux groupe de sens

– Sens acceptable/traditionnel

– Qu’est-ce-que ce mot n’est pas…

Dans tout système, dans tout mot, il existe son propre élément de destruction.

Les mots contiennent en leur sein leur propres ruines.

Je ne peux prendre en compte que le mot tolérance que si j’invoque son contraire.

Les mots sont fréquemment ambigus, présents mais invisibles encore dans l’ombre.

Les mots qui vont surgir savent de nous des choses que nous ignorons d’eux…

Le mot est secret et capable de tout…

Le langage va plus loin que la pensée ne peut voir.

 

La dé-construction

– L’entre chien et loup

– Interroger l’impossible

– Détraquer la dialectique

– Réélaborer ce qui a toujours été minoré

– Acte de résistance

– Une stratégie radicalement politique

– Répudier la pensée d’un monde soumis

Derrida utilise le mot différance (un mot qui n’existe pas)

– Se forcer à penser

– Suspendre les jugements

– Lutter contre les significations figées.

 

Les étapes de la De-construction

(Comme s’il y avait une méthode)

1) Définir le champs conceptuel d’un mot… définir la racine, ce qui domine.

2) Mettre à jour et examiner les couples en opposition

3) Mettre en lumière la hiérarchie de ces couples

4) Inverser ou bouleverser cet ordre (mettre en lumière ce qui est dans l’ombre)

5) Phase de neutralisation – Créer de nouveaux concepts

 

Déclasser les affaires classées… Déconstruire c’est emmener ailleurs…

 

Conseils (en séance)

Traînez, traînez, traînez… Plus vous allez lentement, plus vous irez vite.

Les gens ont la compétence de faire de la distinction, de dire ce qui n’est pas.

Les gens sont créateurs de sens

Toutes les expressions se situent à plusieurs niveaux (double écoute)

« Qu’est-ce qu’il ne me dit pas de ce qu’il est en train de me dire » ?

 

Absent mais implicite (Isabelle) 

Exemple de M White au début de chaque conférence dit :

Ce que je ne vais pas vous dire c’est…

Toute expression est fondée sur son contraste

Exercice : liste des plaintes qui me mettent en impuissance, dans une impasse  (trouver le contraste d’une plainte).

– « Je me sens impuissant » – connaissance de ce qu’est la force, la détermination

– « Je ne sais pas ce que je veux » – capacité à évaluer plusieurs options/désirs

– « Je me sens invisible » – L’envie de se montrer, d’exister

« Je ne vais pas au bout des choses » – sens de l’avancée, de voir le but

« Je me sens seul » – goût du collectif/désir d’amour

« J’ai trop d’émotions » – sens de la retenue, de l’équilibre, de l’analyse, du discernement, du contrôle…

« Je manque de sens » – sens de la signification/reconnaissance de ses besoins

 

Détresses émotionnelles 

Idées reçues (selon M W) : J’ai subi un trauma et il y a des dégâts définitifs… Victimisation (difficile de retrouver du pouvoir sur sa vie)…

1) description

La douleur/la détresse peut-être vue comme un témoignage (Une valeur, une force)… Elle signale une valeur forte bafouée.

Plus la douleur est forte et plus la valeur est forte (corrélation de l’intensité)

Suggestion orientant le questionnement du praticien : quelle valeur a-t-elle été bafouée au point que… ; la conversation va permettre de ressusciter les valeurs bafouées

 

2) Refus d’abandonner cette valeur ; besoin de rendre hommage à ce qui est précieux.

La détresse manifeste le désir de maintenir le lien avec cette valeur précieuse…

Question : A quelle valeur restez-vous fidèle au point que vous êtes dans la douleur ?

La personne lutte et combat – Elle a besoin de se reconnaître une compétence pour maintenir la relation avec la valeur (avec la vie ?)

 

3) Proclamation de réaction (à nous de montrer la capacité à réagir/re-agir).

Il s’agit d’un acte de résistance

Exemple

La fuite n’est pas seulement une preuve de lâcheté… C’est un acte de refus, une protestation.

La conversation doit mettre à jour la capacité de réaction.

 

4) La douleur/détresse n’est pas un état mais un mouvement dynamique

Toute expression peut être considéré comme un mouvement vers une histoire (vie) préférée.

Conseils questionnement : essayer de faire nommer la réaction, l’acte de résistance. Emmener la personne vers un champs de pensée où la personne trouvera le mot qui lui correspond.

Utilisation de témoins extérieurs… les personnes « rescapées » ont une mission pour aider les autres à s’en sortir.

Le praticien aide la personne à prendre position, aider à reprendre conscience de ses forces, aider à devenir agissant…

 

Pause/reprise après-midi – P 27

Carte absent mais implicite – Isabelle donne l’exemple d’une consultation

1) la description : Exprimer une frustration – le contexte

2) La connexion : Trouver les contrastes – chercher les valeurs bafouées – les compétences –

3) Action – l’acte « héroïque »

En refusant… qu’est-ce que vous faisiez

4) Intentions/compétences et buts de vie

Qu’est-ce que cela nous dit de vous ? Qu’est-ce que vous n’accepterez jamais de transgresser ?

5) Plan d’action – qu’est-ce que vous pourriez mettre en œuvre

 

La résistance – A chaque histoire d’oppression, il existe une histoire de résistance

« Quand le puissant seigneur passe, le paysan sage s’incline et pète silencieusement »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’appel de juin

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Je reproduis ci-dessous le premier mail envoyé à SD pour me mettre en contact avec la première coach narrative dont j’ai eu vent (d’Ouest ?) de l’existence…

Le hasard qui on le sait fait souvent bien les choses a fait qu’elle partage les locaux de SD qui s’est donc fait un plaisir de jouer le « go-between » comme il sait si bien le faire lui l’homme de réseaux…

Thérapie

« Les mots pour dire et soigner les maux »…

Cette formule résume un des aspects d’une pratique à inventer…

Comment faire comprendre et ressentir que nos expressions, nos « éléments de langages », véhicules de nos pensées les plus intimes impactent leurs auteurs tout autant que leurs destinataires…

Comment mettre les bons mots pour formuler nos difficultés, nos peurs et nos freins..

Comment se servir de leurs forces pour retrouver notre énergie vitale ?

 

Coaching

« Les mots, révélateurs d’identité  »

Jeux de mots, double lecture, fausses pistes…  nous disposons d’un fabuleux arsenal pour donner corps à notre créativité…

Poésie, nouvelles, romans, scénarios… chacun peut trouver son espace pour trouver son écriture.

Dis-moi ce que tu écris, je te dirai qui tu es ?

 

Script doctor

« Les mots, les phrases, la pensée »

Venir au chevet des manuscrits en difficultés.

Accompagner le développement des manuscrits et des scénarios.

Aider à débloquer des auteurs rencontrant des difficultés dans leurs processus d’écriture.

 

Voilà donc ma première tentative pour formaliser ce qui pourrait devenir « mon » offre comme on dit en langage marketing…

 

Plus de six mois plus tard, l’eau a coulé puisque je termine la semaine prochaine ma formation de 11 jours en « pratiques narratives »…

Je suis  coaché et supervisé par NB qui, à ma grande surprise, m’a demandé de l’aider dans un projet de livre d’écriture/témoignage sur les « pratiques narratives ».

Je suis en train de pratiquer avec B avec qui nous avons déjà eu 6 conversations et dont l’objectif est d’écrire, » continuer et finir un roman ».

Et avec M, d’origine italienne qui veut « décoller » et s’autoriser une écriture plus libre en français…

 

Dernier élément de ce « work in progress », le démarrage de ce blog dont je ne connais évidement pas la destination mais qui témoignera de ma pratique et des réflexions suscitées…

 

A suivre donc…