Allez, allez.. contextualisons (un peu) !
L’image ? Des enfants déjà au travail à « Saint Jo » dans la nuit à 8 h du matin… Souvenir perso du Lycée Michelet où j’allais en 6 ème à la même heure… 20 mn sur mon vélo dans la nuit noire… J’ai été viré en fin d’année.. Cherchez l’erreur !
Bon alors… J’ai rencontré Henriette, coach narrative en juin 2016… c’est le mot qui m’a d’abord intrigué… Et je me félicite d’avoir suivi mon intuition. Depuis, nous avons entrepris ensemble un voyage narratif vers une destination inconnue et (presque) sans cartes (clin d’oeil à Michael White ).
Nous avons déjà écrit plusieurs épisodes mais l’histoire reste en devenir… De coach, Henriette est devenue assez rapidement ma « superviseuse » pour accompagner les premiers pas de ma pratique naissante. Après quelques mois d’échanges, elle m’a ensuite demandé en décembre 2016 (et à ma grande surprise) si je pouvais l’aider dans l’écriture d’un livre : le coach coaché/le coaché coach… Tout ce que j’aime… EXPERIMENTATIONS !!!
Je rends compte ci-dessous d’une partie de la correspondance qu’elle m’a adressée durant ces quelques mois en laissant (pour l’instant) de côté notre expérimentation en cours concernant l’écriture de son livre. Je laisse aussi volontairement de côté ma partie de notre correspondance pour mettre en lumière son rôle.
Nous avons réfléchi ensemble à la place de l’écrit dans nos échanges et cette expérience commune a confirmé l’importance « soutenante » de ces lettres (des mails) entre les différentes conversations (nouveau clin d’oeil à Michael White ).
15 juin
Bonjour Olivier,
C’est avec grand plaisir que j’échangerai avec vous.
A court terme, cela pourrait être le vendredi 17 ou le vendredi 24 à votre convenance.
Le 12 oct. 2016
Bonjour Olivier,
J’espère que vous allez bien et que les effets positifs de la conversation de la semaine dernière vous inspirent pour passer à l’action. Pour nourrir votre réflexion et vous permettre de vous y référer, je vous communique quelques notes brutes prises lors de notre entretien de la semaine dernière.
La semaine de formation est venue renforcer votre désir d’exercer en tant que PRATICIEN NARRATIF et de vous fixer un objectif : »En 2017, JE METS MA PLAQUE SUR LA PORTE ». Cette identité future vous permettrait à la fois d’accompagner des projets créatifs tel l’écriture de manuscrits et de proposer des conversations thérapeutiques. Et la conviction que vous y seriez bon et à votre place. Vous y avez découvert plusieurs choses parmi lesquelles : la compréhension de la nécessité d’un cadre et du respect de l’échafaudage, des petits pas permanents dans une logique d’apprentissage. « On ne peut pas faire l’économie de ce temps-là… éloge de la lenteur »… Dans ce cadre, il peut y avoir un « espace pour déconner » et qui fonctionne.
Notre axe de réflexion conjointe : sur quoi focaliser votre accompagnement dans les prochaines semaines ; objectifs possibles : préserver une santé financière, définir son offre de service et le public visé (thérapie, coaching, journalisme, écriture de fiction…).
Vos envies et espoirs pour la suite : Reprendre les codes de la fiction pour rendre l’histoire passionnante, trouver un moyen de respecter la chronologie, les éléments donnés par le narrateur pour le valoriser et le communiquer sous forme de lettres… Croiser avec vos talents de compteur… expérimenter ce qui a été appris dans les groupes de paroles auxquels vous avez participé au cours de votre vie… Puiser dans les moments d’exception afin de ne pas donner aux questions qui émergent un pouvoir de paralysie… Ecrire le journal d’un praticien narratif en devenir.
Je me rends compte que je n’ai évoqué que notre dernier échange. Il y a eu tous les précédents. Si vous aviez l’envie de raconter cette histoire dans votre journal de praticien narratif en devenir, c’est avec plaisir et curiosité que j’en prendrai connaissance.
4 novembre 2016
Bonjour Olivier,
Je vous avais annoncé une lettre de ma part. J’y ai pensé plusieurs fois sans y trouver un sens véritable qui m’invite à prendre la parole. Je crois qu’il est trop tôt pour moi de m’exprimer. Ou que je ne ressens pas le besoin de m’exprimer pour l’instant. Pour l’instant, l’espace est occupé par des questions que je partage ici avec vous. Suis-je dans cette « expérimentation » un observateur, un témoin, un cobaye, un superviseur, un coach…? C’est peut-être tout cela à la fois. Ce que j’ai plus particulièrement retenu mon attention dans nos échanges, c’est l’expression « expérimentation ». C’est à la fois une autorisation à mener une expérience sans en connaitre les résultats et le sentiment d’être pionner dans sa propre vie. C’est une opportunité d’allier continuité et renouveau. Un peu comme cette page blanche où l’on se retrouve à chaque fois ni tout à la fait la même, ni tout à fait une autre.
Je me demande ce que vous expérimentez depuis le début de l’expérience. Qu’est-ce qui a été pour vous le plus surprenant ? Où est-ce que cela vous a transporté et où vous n’étiez pas allé auparavant ? Et surtout quels sont vos espoirs pour la suite ?Comment voyez-vous les prochains pas ?
Ceci est peut-être un prologue. Le sens évoluera sans doute au fil du temps. Comme le sens de nos expériences de vie. Quel est le sens donneriez-vous aujourd’hui à cette expérimentation ?
6 novembre 2016
Bonjour Olivier,
Je vous remercie pour ce message et pour partager avec moi vos premiers pas de praticien narratif. Vous me sollicitez pour une super vision 🙂
Eh bien, voilà. Ce que je vois c’est l’absence de question ou d’expression d’un besoin. Aussi ai-je envie de vous inviter à réfléchir à cela. De quoi avez-vous besoin pour accompagner votre client ? En miroir, j’ai envie de vous inviter à interroger également votre client. De quoi a-t-il besoin ? Qu’a-t-il apprécié de la 1ère séance et qui lui a donné l’envie que vous vous revoyez dès ce lundi ? En quoi est-ce aidant ? De quoi pense t-il avoir besoin ? Comment vous voit-il l’accompagner dans l’écriture de ce roman ? Afin d’éviter de répéter encore plus de la même chose, que diriez-vous de l’interroger : Qu’a-t-il déjà mis en œuvre ? Quels résultats ont été obtenus?
D’autres questions (concernant le cadre de la coopération) me viennent également… Qu’est-ce qu’il lui fera dire que l’objectif est atteint ? Qu’est-ce qui pourrait lui donner l’envie d’arrêter ? Que fera -t-il si cette pensée se présente?
Quelle est son intention de fixant la limite de 5 séances comme cadre à votre travail en commun? (A cet égard, je trouve très intéressant cela. Le sentiment d’urgence est souvent mobilisateur.)
Dans vos notes, j’ai relevé un parti-pris : « Je l’ai prévenu que nous allions dans un premier temps décrire les freins à sa création pour essayer de les lever avant de nous intéresser au contenu du roman. » Qu’est-ce qui motive ce choix? Qu’est-ce qui vous fait penser qu’il faudrait procéder ainsi? (J’y vois l’influence d’une métaphore/vision du monde influencée par la mécanique. Nous avons tendance à nous percevoir comme des machines.). Il est important d’aborder le problème pour identifier les valeurs/motivations qui soutiendront les pas du client. Toutefois, l’objectif est de le dissoudre, faire qu’il ne soit plus dominant. Aussi, aurais-je envie de vous inviter à faire assez tôt une place aux exceptions. Vous mentionnez le plaisir qu’il a eu à parler de son roman. C’est un levier intéressant. le plaisir de changer nous encourage à poursuivre dans la voie du changement.
Dans les propos de votre client, j’ai aussi relevé une croyance « un journal n’est pas une œuvre littéraire. » Cela pourrait-être intéressant de questionner « cette façon de juger ses écrits ». face à une croyance, nous explorons en narrative le contexte où cette croyance/pensée dominante se développe. Qu’est-ce qui y contribue ? Qu’a-t-il vécu qui lui faire dire cela ? Quel regard porte-t-il sur les journaux de certains d’écrivains comme Kafka ou Michel Leiris ?
Enfin, vous concernant plus particulièrement, ce serait intéressant que réfléchissiez à : “Ce que vous avez vécu…” “Ce que vous avez découvert, ce que cela vous apprend…” “Ce que vous envie d’en faire…”
Si vous souhaitez partager avec moi ces éléments, j’en prendrai connaissance avec intérêt. Je vous souhaite d’agréables prochains pas.
Samedi 12 novembre 2016
Bonjour Olivier,
Je vous remercie pour ce partage. Il y a déjà une riche histoire qui s’écrit avec A. Que ressentez-vous? Comment cela résonne par rapport aux espoirs que vous avez pour la suite de votre vie? J’ai bien noté vos questions pour la prochaine séance. Toutefois,si vous y consentez, auparavant, j’aurais très envie d’en savoir un peu plus sur le thème de la « légitimité » que vous mentionnez dans votre échange avec M, votre deuxième « cliente ». Qu’est-ce qui soutient le fait de se sentir légitime ? Qui sont les « juges » de cette histoire ? Qu’est ce qui leur donne ce « pouvoir » ? Comment cela se met en place dans l’histoire de A ? Comment cela se met en place dans votre relationa avec M ?
Qui sont nos juges?
Bien à vous,
21 novembre 2016
Bonjour Olivier,
Je vous remercie pour ce message. Je vais bien et suis actuellement en voyage pour une petite semaine professionnelle et personnelle. Il me semble que le travail que vous faites avec A porte ses fruits car il a le désir de le poursuivre. Il semble donc y trouver un intérêt et une forme de régularité qui pourrait l’aider pour son travail d’écriture. Une nouvelle phase de 5 séances est envisagée. Il serait intéressant, je serais curieuse de…, savoir les espoirs qu’il a pour cette 2ème phase et de quelle façon cela fait écho avec ce en quoi il accorde de l’importance dans la vie. S’agissant d’une sorte de voyage initiatique, il serait intéressant de savoir en quoi les conversations avec vous l’ont transformé. Qu’est-ce que vos échanges ont contribué à faire évoluer dans ses ressentis, ses pensées, ses représentations et ses envies ? Que souhaite t-il prolonger, donner suite ?
Enfin, je note que les séances sont très rapprochées. Je me demande si vous pourriez envisager de les espacer un peu. C’est entre les séances que se déroule la vie, que les initiatives se prennent et que l’action se déroule. L’objet de penser la vie est de nous aider ensuite à agir dans la vie, je crois. Peut-être qu’espacer les séances de 2 semaines y serait profitable.
Bien à vous,
2 décembre 2016
Bonjour Olivier,
Ce message pour vous dire quelques mots de plus du projet qui est entrain de germer suite à nos conversations. J’ai effectivement le désir et le projet de contribuer à la naissance d’un livre témoignage à la fois de mon activité de coach, des histoires qui s’y façonnent et se déroulent et de le resituer à la fois dans la grande histoire de la narrative (de ses principes éthiques, philosophiques, politiques…) et dans l’histoire de ma vie. Nos échanges me laissent à entendre et à penser que ce projet pourrait éventuellement trouver un écho positif chez vous et pourrait potentiellement faire l’objet d’un travail en commun. J’ai pris conscience que nos échanges m’invitent à parler du coach que je suis, de ce qui me plait et me motive dans ce métier (cette posture de vie), de la façon dont cela a façonné ma vie… et de m’être inscrite dans une forme de témoignage avec vous. J’aurais je crois envie d’expérimenter l’une de vos sessions d’écriture en résidence, je ne sais pas…pourquoi pas d’ici la fin de l’année 2016. Vous me direz comment cela résonne pour vous. Au plaisir d’en discuter avec vous par mail ou téléphone.
Excellente journée,
4 janvier 2017
Bonjour Olivier,
Je vous transmets ces notes prises de notre conversation du 28 décembre dernier comme un espace de réflexion et d’éclairage de vos prochains pas. Vous en souhaitant une bonne lecture.
Contexte et réflexion préliminaire : Cette conversation se déroule dans un contexte un peu différent des précédentes, chez vous, dans l’espace que vous avez aménagé pour vos propres coachings. J’expérimente donc le fait de coacher le coach dans son espace. Je m’interroge. Qu’est-ce que ma présence en ce lieu va-t-elle changer à cette séance ? Comment faire pour rester le coach alors que je suis assise à la place du coaché ? Le but de cet accompagnement et de cette expérimentation n’est-il pas d’accompagner le coaché vers ce nouveau territoire où l’identité de coach viendrait s’articuler à ces autres identités ?
Je laisse faire le cadre du coaching et de la narrative nous guider. Le sens émergera de l’expérience.
Olivier ce mardi 28 décembre matin vous souhaitez « faire un point en continuité » : Voir où on est ? Comment avancer ? Vous refusez le mot « objectif » et cette « course à la productivité ». Vous refusez de reprendre le « jargonnage » et « l’enfermement dans une solution ». Vous prenez position et choisissez d’évoquer « ce qui vous excite aujourd’hui ». Nous partons donc en voyage dans cette direction.
« Ce qui m’excite aujourd’hui »
Faire le lien avec la dramaturgie dans le cadre d’un projet d’intervention dans une Master Class organisée à l’automne 2017 avec Isabelle et Nicolas, vos formateurs.
« L’externalisation est une idée très puissante. » Cela vous fascine de l’entendre nommer car cela fait le lien avec des éléments de dramaturgie, pas seulement la littérature mais aussi le cinéma qui offre cette expérience du « bigger than life ». On sait que c’est de la fiction mais on va être capable d’expérimenter quelque chose de plus vrai que la vie Une « image au cinéma peut tout dire de notre existence », au-delà du contrat de lecture, du vrai et du faux. La fiction est une formidable externalisation, un outil de résolution de conflits. Il y a des vertus thérapeutiques dans le processus de fictionnalisation. Dans les pratiques narratives, il y a une perpétuelle incitation à un récit.
Vous prenez position : « Il est urgent qu’il y ait un lien de fait entre les choses ». Vous souhaitez apporter votre « petite contribution » dans l’espace de proposition qui vous a été faite publiquement. « Il faut prendre la balle au bond »… Vous percevez cette proposition comme « une opportunité pour le contenu » (une opportunité de faire avancer « un travail intellectuel démarré il y a quelques années », « réactiver des choses laissées en suspens et qui n’avaient pas abouties) et « un outil-porte d’entrée » qui permettrait de vous positionner, de vous faire connaitre et qui pourrait ensuite devenir une carte de visite pour vous présenter ailleurs. Ce serait aussi pour vous « une façon gratifiante et valorisante de s’inscrire dans la communauté des praticiens narratifs ».
Pour vous, Il s’agit d’être un passeur : » La qualité de l’attention à l’autre est une forme d’amour qui ne se dit pas comme telle et cela se transforme en ressource ».
Déconstruire des histoires problématiques
Une deuxième intuition vous habite. « Les pratiques narratives dans le cadre d’une ville et qui ferait écho à un besoin de la ville de redorer son image ». LH doit sortir du processus d’autodénigrement et s’inventer un autre récit. Cette ville presque sinistrée vous semble avoir besoin d’un autre récit sur elle-même (à travers de ces moments d’exception) afin de sortir du processus d’autodénigrement relayé par nombre de ses habitants. Le projet serait de proposer à la ville « une approche participative et citoyenne pour co-écrire un nouveau récit pour la ville ». Ce projet pourrait être l’occasion de donner la parole à des gens qui n’ont pas l’habitude de l’avoir.
Une autre intuition/envie vous habite. Un endroit où vous pourriez intervenir à double-titre : journaliste et praticien narratif-travailleur social. Un projet avec 15 jeunes qui vont pendant 6 mois travailler sur un projet de journal numérique. Les pratiques narratives y joueraient un rôle important. » Aider les gens à dissoudre leur problème par le récit qu’ils en font ». Vous évoquez ce projet comme un « challenge passionnant » qui permettrait d’illustrer comment les pratiques narratives peuvent intervenir dans la déconstruction des histoires problématiques.
Comment avancer ? Nous évoquons vos envies pour la suite : « Une conférence aboutie » (Du discours + des images)… Une rémunération ( « Tout travail doit êre rémunéré »). De la reconnaissance financière + la puissance de l’expérience du passeur.
Vos prochaines étapes : Le projet pour la Ville avec votre compagne. Le projet pour l’association dans une approche « solidaire ». L’élaboration d’une offre de coaching en entreprises en individuel puis en collectif dans un second temps selon les besoins.
Poursuivre ces chantiers qui se présentent à vous. Poursuivre ce voyage, l’expérimentation vivante de ce voyage. Exploration- Alchimie-Transformation- Cohérence. « Je me sens voyageant. A cœur des pratiques narratives, au cœur de la vie. Avec cohérence ». « Je peux m’inscrire dans une relation aidante pour les gens »… « Pouvoir aider l’autre à découvrir cet accès possible à cette cohérence »… Multiplier ces moments privilégiés « Une sorte d’état de grâce où je sens que je suis traversé par une une puissance supérieure »…
6 janvier 2017
Bonsoir Olivier,
J’ai bien pris connaissance de votre projet de conférence sur les liens entre les pratiques narratives et la dramaturgie. Je me suis mise de la coach-praticienne narrative qui viendrait assister à cette conférence pour vous faire part de mes impressions et propositions. Sentez-vous libre de ne retenir que ce qui résonnera positivement pour vous.
Ce que j’ai apprécié : Les citations, leur éclairage sur les intentions sous-jacentes aux pratiques narratives. La variété des auteurs cités (Michael White, Alice Morgan, Paul Ricoeur, Derrida). Les thématiques que vous envisagez d’évoquer (les règles de base de la dramaturgie, le lien entre le récit et la réalité, le plaisir du récit, l’ombre des mots,….).
Mes envies, propositions et questionnements : Le récit en tant qu’espace de résistance et d’expérimentation de l’espoir ; l’espoir qui nourrit la mise en mouvement. Que la conférence soit-elle-même une expérience narrative, une histoire qui s’écrit collectivement. Que le conférencier soit peut-être le héros de l’histoire et qu’il y ait des éléments autobiographiques : Comment le héros découvre la dramaturgie ? Quelle compréhension en a-t-il ? Qu’est-ce que la découverte des pratiques narratives à apporter à l’écrivain-journaliste-scénariste ? Quelles nouvelles compréhensions aujourd’hui ?
Des références d’ouvrage pour aller plus loin (Comment les histoires nous façonnent?, etc…). Quelle différence et quels liens avec la dramathérapie, le psychodrame psychanalytique ? Qu’aimeriez-vous que l’on ressente à l’issue de cette conférence ?Qu’aimeriez-vous que l’on se dise à l’issue de cette conférence ? Qu’aimeriez-vous que l’on fasse à l’issue de cette conférence et qui serait la bonne suite de l’histoire ? Comment invoquer lors de cette conférence ces différents personnages que sont « le praticien narratif », « le client », « le témoin extérieur », « le journaliste », « l’écrivain », « le scénariste », « le réalisateur », « l’acteur », « le spectateur » etc.
Et si ce n’était pas une conférence, qu’est-ce qui deviendrait possible ? Comment ?
